INSA LYON, 18 octobre -Diversité, gage de l'excellence partagée

Belle soirée sur l'excellence, le sport et l'entreprise à l'INSA de Lyon!!

Voici quelques notes prises sur les échanges...

MC

Marie-Françoise Potereau, FEMIX

Yves Paret, directeur technique régionale de fédération.

François de Saint-Seine, TOTAL

Corinne Hardy, MERIAL

ont apporté un témoignage aux côtés des étudiants et alumni.

 ...

L’INSA propose un modèle d’ingénieur ouvert sur la  société, avec 3 piliers : diversité, responsabilité et créativité.

En 2016, 160 étudiants en sport étude sot accueillis à l’INSA. Sur 870 élèves, au total, il y a 40% de filles cette année

Le salaire médian (pas moyen) des filles est supérieur à celui des garçons.

37% de femmes sont licenciées en fédération sportive mais 13% sont à la présidence de fédération.

La loi Coppé Zimmerman qui va conduire à 20 puis 40% de femmes en CA induit un basculement : Dans les groupes, au delà de 30%, une minorité peut s’exprimer significativement.

Le quota induit des critères de compétence pour la sélection au lieu de s’appuyer sur la cooptation estime certains intervenants.

Le frein au carrières des femmes n’est généralement pas les enfants, mais la carrière du mari.

Il y a eu des évolutions, notamment sur l’interruption du statut de sportif de haut niveau lors de maternité pour les femmes.

Des études montrent que les femmes postulent sur un poste si elles pensent avoir 80% des compétences, le chiffre est de 50% pour les hommes qui sont plus confiants en leurs capacités.

Dans l’excellence,  il y a le regard des autres ; on l’atteint par le travail et  la détermination, face aux objectifs, avec audace et faculté de rebondir sur les échecs.

On développe l’excellence opérationnelle avec les autres, en équipe, en partage.

Il faut oser prendre le pouvoir.

Objectiver l’accès par critères facilite la voie pour les femmes aux postes à haute responsabilité, en contournant la cooptation masculine.

Un atout est d’avouer la difficulté pour en faire une force. Ne pas être dans le déni et l’échec toxique destructeur. Gérer ses défaites qui ne sont pas des échecs en soi est un atout. Il faut intégrer les vertus de l’échec.

On tente millle fois, on ne rate pas mille fois. L’échec, quand on perd et qu’on ne devrait pas, doit permettre une remise en cause, un questionnement sur soi pour aller de l’avant.

Par les voyages, l’ouverture, la gestion du stress,  la connaissance de soi, l’esprit de compétition, le sportif porte des valeurs chères aux entreprises.

Le collaboratif, la curiosité et l’innovation,les valeurs de travail en commun sont à cultiver.

La posture, avec un leadership à prendre, et des actions à donner en visibilité est importante.

Il faut 80%  de relationnel et 20% de technique pour réussir.

Le conseil donné est de fournir le meilleur, avec passion, se faire des experiences, être optimiste, garder des objectifs élevés, des rêves, du partage, de la différenciation. Il faut se définir ses objectifs, oser, ne pas avoir de regret, apprendre sans cesse, y compris sur le plan technique.

D'autres recommendations sont:  s’engager, pousser les portes, être responsable de ce que l’on fait, innover et faire fructifier les liens inter générations.

Travailler ailleurs, utiliser le télétravail, choisir et ne pas subir, s’adapter pour progresser, être ambitieux.

Soyez vous-même, sincère, agile, accepter les ruptures mutiples au traail dans la carrière, soyez curieux, développer vos passions, les langues, tenter vos rêves, ne laissez personne dire ce que vous devez être.